1. Identifier une difficulté ou un conflit, en particulier quelque chose de répétitif.
Tu imagines deux espaces, un pour toi et un pour la difficulté, devant toi.
Tu imagines la difficulté devant toi et tu la nommes, en modifiant ce nom jusqu’à ce que tu ressentes une sensation plus forte qui t’indique que tu as bien identifié la difficulté.
2. Observe la difficulté, sachant qu’elle mènera à quelque chose de nouveau lorsque tu l’auras résolue.
Même si tu ne la comprends pas encore, tu la remercies d’être dans ta vie. Tu sais qu’elle fait partie d’un mouvement du Vide Créateur,
que l’on peut aussi appeler le champ du vide quantique, orienté vers un saut qualitatif dans ta vie.
3. Découvrir la décision.
Regarde-la jusqu’à ce que tu te rendes compte que tu as choisi d’avoir cette difficulté pour les bénéfices qu’elle t’apporte.
Tu l’as choisie inconsciemment pendant l’enfance, pour faire face de la meilleure façon aux traumatismes et aux intrications familiales.
Et, en tant qu’adulte, tu as repris cette décision à plusieurs occasions.
Dis à la difficulté: «J’ai choisi de t’avoir dans ma vie, afin d’éviter … ou d’obtenir …».
Cela t’aidera à te mettre dans la difficulté et à la ressentir, puis à revenir vers toi, et ainsi alternativement chaque fois que tu comprends quelque chose de nouveau.
Tu sauras que tu as trouvé la bonne raison pour laquelle tu as décidé d’avoir cette difficulté grâce à l’émotion que tu vas ressentir.
Et peut-être, derrière la raison, tu en trouveras une autre encore plus profonde: «J’ai choisi de t’avoir dans ma vie pour éviter … ou obtenir …, pour être plus fidèle».
4. Centré en soi, guérir la décision infantile.
Tu regardes au-delà de la difficulté, au loin, vers ton enfance. Tu vois ce que tu voulais éviter ou obtenir.
Sens-le dans ton corps.
Quelqu’un de ton enfance est là et tu lui dis: «Tout est terminé. J’ai grandi. Je te libère de moi. Tu es toi et je suis moi ».
5. Libérer une intrication.
Maintenant, tu regardes plus loin encore, peut-être plusieurs générations avant. Tu vois quelqu’un à qui tu as dit: «Moi, pour toi». Tu ne sais pas de qui il s’agit et cela n’a pas d’importance. Maintenant tu peux lui dire: «Cher ancêtre, pour toi j’aurais fait n’importe quoi. Maintenant je te libère de moi. Maintenant, je choisis de vivre ma vie ».
6. Prendre une nouvelle décision.
Maintenant, tu regardes à nouveau la difficulté et tu lui dis: “Maintenant, je te libère de moi.”
Et tu affirmes ta nouvelle décision, qui peut être quelque chose comme ceci:
«Tout est payé, maintenant je choisis de profiter de ma vie. “Moi seul/e, je peux.”
“Je choisis la vie.”
“Je choisis de vivre ma vie.”
Peut-être cela peut t’aider à trouver la nouvelle bonne décision de te placer dans la difficulté et sentir sa réaction lorsque tu prends la nouvelle décision. Tu sauras que tu as trouvé la nouvelle bonne décision grâce à l’émotion qui va t’envahir.
Et, avec cette nouvelle décision, tu marches vers la vie. Cette décision deviendra un mantra pendant quelques jours.