Par Oleg Vakulovsky et Petr Petrovich Gariaev
Traduction et sous-titres MTVersyp

Oleg Vakulovsky : Bonjour ! Attention ! Préparez-vous ! Parce que ce que vous allez entendre et voir pendant les 30 prochaines minutes, ne correspond pas à notre paradigme habituel, ou pour être tout à fait honnête, ne correspond pas du tout à notre paradigme ! Et à première vue, il peut sembler que tout cela soit le fruit de l’imagination d’un écrivain de science-fiction malade, à la frontière de la science. Mais la vérité est que vous devez le prendre très au sérieux, car il s’agit de la recherche scientifique la plus sérieuse, et des scientifiques les plus sérieux.
Il s’avère que nos molécules d’ADN sont des antennes, et pas seulement l’ADN, mais aussi les protéines, car elles contiennent des atomes de métal, qui sont des antennes orientées vers l’espace et reçoivent des informations cosmiques dirigées. Lorsque j’ai éloigné une molécule d’ADN du foyer laser, et que le laser balayait en fait un espace vide, cet espace vide indiquait que la molécule d’ADN était toujours là.
Dans une solution aqueuse, la mélodie de l’ADN produit constamment du son, et elle produit également le son d’une cellule, elle produit une mélodie complexe avec des phrases musicales répétitives, elle produit un beau son et une belle mélodie, et c’est un fait très intéressant en soi. Lorsque je l’éradiquais à l’aide d’ultrasons aux radiations similaires à celles de l’échographie médicale habituelle, qu’entendais-je ? Au lieu d’une mélodie plus complexe, il ne restait qu’une note monotone !
Qui dit tout ça ? Présentation par Petr Petrovich Gariaev, docteur en biologie de l’Académie médico-technologique de Russie, 62 ans, qui a passé la majeure partie de sa carrière à travailler pour des institutions scientifiques en Russie, mais qui a travaillé une fois au Canada, où il a été invité à Toronto par ses collègues canadiens.
La science génétique est convaincue que, à partir de la conception, le développement de tous les êtres vivants, y compris les êtres humains, est programmé par les informations stockées dans les chromosomes, on pense qu’il n’y a pas d’autre endroit pour les stocker, c’est l’endroit où toutes les informations doivent être enregistrées, au sujet de l’ordre strict dans lequel les protéines doivent être synthétisées en tant que blocs de construction des organes, afin de construire ultérieurement ces organes, où chacune des protéines doit occuper sa place spécifique, assurant l’interaction avec les autres organes et créant un organisme unifié. Nous ne pouvons que nous émerveiller et rendre hommage à la nature, qui est à peine visible, même au microscope.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Selon l’académicien P. Gariaev, il n’y a qu’une seule voie possible : le recodage de l’information se fait au niveau des ondes par les rayonnements électromagnétiques et acoustiques. Gariaev a mené l’expérience, qui après lui a été répétée dans de nombreux laboratoires, pratiquement toujours avec les mêmes résultats.
Il s’avère que nos molécules d’ADN sont des antennes, et pas seulement l’ADN, mais aussi les protéines, car elles contiennent des atomes de métal, qui sont des antennes orientées vers l’espace et reçoivent des informations cosmiques dirigées. Il existe des expériences très simples qui le démontrent. Prenons l’exemple des œufs de grenouille. S’ils sont placés dans des cellules blindées, ils offrent les conditions habituelles pour un développement cellulaire normal, à une exception près : le rayonnement électromagnétique est extrêmement réduit et altéré, il n’y a donc qu’un seul environnement électromagnétique anormal, et le champ de gravitation reste inchangé, tout le reste est altéré. Il y a peut-être aussi des neutrinos.
Il s’avère que les œufs de grenouille, placés dans ces cellules, deviennent malformés, vous voyez où j’en viens ? L’environnement électromagnétique extérieur nous est absolument indispensable, il crée une sorte de métabolisme ondulatoire, une régulation ondulatoire qui est traitée depuis l’espace. En d’autres termes, des œufs de grenouille placés dans une boîte métallique ordinaire donneront naissance à des têtards normaux qui deviendront plus tard des grenouilles. Dans une cellule faite d’un alliage de fer et de nickel, nous assistons à la naissance de créatures hideuses, dont aucune ne peut, en fait, devenir une grenouille normale par la suite. C’est l’idée de la génétique ondulatoire, selon laquelle notre appareil génétique construit l’organisme à l’aide d’ondes électromagnétiques et acoustiques de différentes longueurs. De plus, un organisme ne se contente pas de les recevoir de l’extérieur, il les génère également lui-même.
Des expériences ont montré que l’ADN produit des rayonnements d’ondes radio, des faisceaux laser, qui créent des hologrammes d’informations, c’est- à-dire que les cellules de l’embryon, après réception au niveau des ondes, dessinent le modèle, qui indique où et comment les jambes, les yeux, le nez, etc. doivent pousser. Et tout cela est parfaitement conforme à la loi de la conservation de l’information, la loi, formulée il y a quelques années. Le fait est que notre appareil génétique et celui de tout être vivant représente une structure qui émet de la lumière, mais cette lumière se situe dans un spectre de longueurs d’onde différent : du bleu foncé au rouge et ainsi de suite, en suivant le spectre des longueurs d’onde de la lumière. Et pas seulement la lumière, mais la lumière laser, la lumière cohérente. J’ai travaillé avec de la physique très avancée.
Pour la première fois dans l’histoire, nous avons montré que l’ADN peut fonctionner comme un laser. Avec une expérience simple, nous avons prouvé sa superluminescence. Vous vous demandez peut-être pourquoi il y a un laser dans l’ADN ? Pourquoi la lumière est cohérente ? Les exemples sont nombreux, bactéries luminescentes, poissons luminescents, plantes aquatiques luminescentes… mais, dans tous ces cas, il ne s’agit pas de lumière cohérente. Dans les cas précédents, la luminescence se produit en raison de différents processus, ici nous voyons une lumière spéciale, une lumière laser, et ce fait particulier est extrêmement important.
C’est important, parce que cela nous ramène une fois de plus à l’holographie, car il s’agit d’un faisceau laser qui peut lire des données strictement spécifiques à partir d’hologrammes strictement spécifiques. Et c’est ainsi qu’il a été conçu, pour lire nos chromosomes comme un catalogue de milliards d’images, une par une ; si l’on essaie de les lire toutes en même temps, ce sera un désastre. Nous parlons donc d’une lecture différenciée de l’information.
Imaginez notre corps comme un ensemble cellulaire massif composé de centaines et de centaines de milliards de cellules, et chacune de ces cellules échange des données sur son état avec toutes les cellules voisines. Comment cette action est-elle gérée ? Peut-être par le système nerveux, mais les processus nerveux circulent à une vitesse très faible, 8-10 mètres par seconde, insuffisante pour assurer le fonctionnement normal de l’état des cellules. Même la vitesse de la lumière n’est pas suffisante pour distribuer toutes les informations à des centaines de milliards de cellules, sinon notre développement se serait arrêté au niveau bactérien, où aucune information ne doit être transmise par les cellules, puisqu’il n’y a qu’une seule cellule. Dans notre corps, les informations concernant toutes les cellules sont distribuées entre elles instantanément.
Comment résoudre ce problème de communication ultrarapide ? Petr Gariaev et ses collègues ont mené des travaux théoriques et expérimentaux, qui leur ont permis d’introduire l’idée que les cellules échangent continuellement des informations à une vitesse indéfiniment élevée.
Les scientifiques ont fondé leurs travaux sur l’attribut prédit par Einstein et ses disciples Boris Podolsky et Nathan Rosan en 1935. À l’époque, ils avaient prédit que lorsque deux photons intriqués sont séparés, et que l’un d’eux modifie ses paramètres, par exemple, l’un d’eux se heurte à quelque chose et disparaît, mais l’information est instantanément transférée à l’autre photon. Ainsi, un photon devient l’autre. Plus tard, cet attribut des événements quantiques a été appelé téléportation.
En 1997, des scientifiques autrichiens ont démontré expérimentalement qu’un photon peut être téléporté, c’est-à-dire déplacé instantanément d’un endroit à un autre et, qui plus est, en conservant toutes les informations. Ils ont clairement démontré que les photons peuvent être téléportés et que notre ADN, nos chromosomes fonctionnent avec des photons ! Nos cellules communiquent entre elles à une vitesse infiniment élevée. À ce niveau, la notion de temps disparaît, les informations sont connues immédiatement.
Tous les processus métaboliques complexes dans les centaines de milliards de nos cellules se produisent parce que les cellules se connaissent immédiatement, instantanément, grâce à l’information fournie par les photons, ces photons sont entrelacés et ce concept d' »entrelacement » est la clé pour expliquer cette communication instantanée dans notre corps. Elle nous conduit à une base fondamentalement différente pour comprendre la biologie et appréhender le fonctionnement de l’appareil génétique et des êtres vivants.
Pour que les cellules et notre corps fonctionnent normalement, les noyaux des cellules fonctionnent comme des bio-ordinateurs. Maintenant, vous vous demandez peut-être quelle est la fonction du système nerveux, qui distribue également des données. Nous supposons et nous essayons de prouver que ces données massives ont besoin de grands blocs d’informations, les quanta, et ensuite, ces grands blocs les distribuent aux organes, aux cellules et aux tissus, il n’y a donc pas de contradictions ici.
L’histoire commence en 1953, lorsque deux hommes au visage réjoui entrent dans l’un des pubs de Cambridge et annoncent à voix haute qu’ils viennent de découvrir le secret de la vie. L’un d’eux était le biophysicien et généticien britannique Francis Click et l’autre le biochimiste américain James Watson. Ils ont découvert la structure spatiale de l’ADN. En 1998, l’un des premiers découvreurs de la double hélice de l’ADN, le prix Nobel James Watson, a annoncé publiquement que la science était sur le point de découvrir la base chimique de l’hérédité humaine. Trois ans plus tard, des recherches scientifiques pertinentes ont été menées en Russie et aux États-Unis. Plus tard, l’Organisation internationale de recherche sur le génome humain a été créée. Une recherche mondiale menée sous les auspices de cette organisation a duré 12 ans et a coûté plus de 3 milliards de dollars, selon des sources non officielles. Les premiers résultats du décodage du génome humain ont révélé un total de plus de 100 000 gènes, soit exactement le nombre que l’on pensait avoir dans notre corps.
Il existe un grand nombre de gènes semblables à ceux des vers et un gène sur cinq est semblable à celui des microbes. En revanche, on a découvert par la suite que le nombre de gènes humains est 3 fois moins important que prévu : environ 30 000 seulement ! Si les scientifiques considèrent que 100 000 seulement ne suffisent pas à garantir la diversité du corps humain, que dire d’un tiers de celui-ci ! Et pourtant, le décodage du génome humain est devenu l’objectif de la biologie médicale, mais il était clair que ce n’était que la première étape.
Et la grande question est : quelle est la prochaine étape ? Les prochaines grandes réalisations qui ont suivi la découverte de la molécule d’ADN. Aussi paradoxal que cela puisse être… C’est tout à fait normal, car toute grande découverte devient tôt ou tard obsolète, atteint un point de saturation et devient alors une pierre d’achoppement. Or, l’euphorie qui suit la première décennie de recherche sur l’ADN, quelqu’en soit la manière, est paradoxalement tout à fait naturelle, et finit par être décevante. Cette déception est due au fait que le grandiose programme sur le génome humain, mené depuis une dizaine d’années et qui a coûté énormément d’argent, des dizaines de milliards de dollars, et auquel notre pays a participé, a abouti à ce que l’on a décrit comme « la montagne a accouché d’une souris ».
Chaque biosystème possède une molécule d’ADN, même les plus simples quasi-vivants comme les virus, et cette molécule d’ADN ne contient qu’environ 35 000 gènes.
La notion de gènes a fortement pénétré l’esprit des biologistes. Si auparavant le concept de gène était nié, aujourd’hui c’est devenu un axiome ou un dogme que le gène est la partie de l’ADN, responsable de la synthèse des protéines… et c’est tout. Il s’est avéré que pour décoder cette séquence, il est presque identique de prononcer d’abord les lettres d’un mot et seulement ensuite le mot lui-même. Mais le fait est que les mots forment la phrase et que vous devriez être capable de lire ces phrases. Aujourd’hui, 98-99% du génome ne peuvent pas être expliqués par les scientifiques modernes. Ces 98-99% sont appelés « ADN poubelle » par les scientifiques et ils ne savent pas vraiment ce qu’ils cachent.
De fait, il est inacceptable que les biologistes et les généticiens soient incapables d’expliquer la fonction de la plus grande partie de la molécule d’ADN et la qualifient simplement de « poubelle ».
En fait, la fonction principale, peut-être, est cachée exactement là.
Pourquoi ? Les recherches sur le génome humain ont montré que l’appareil génétique humain compte environ 35 000 gènes pratiquement identiques à ceux d’une mouche à fruits, d’un ver, d’un porc ou d’un singe. Vous vous demandez peut-être en quoi nous sommes différents d’eux. Si génétiquement, au niveau des gènes, il n’y a pratiquement aucune différence, n’est-ce pas un paradoxe ? Cela semble absurde. Et les biologistes et les généticiens détournent honteusement les yeux pour chercher d’autres explications au fait que ces gènes se présentent sous différentes combinaisons.
Chez le Coli-bacillus, ils se présentent sous une seule combinaison, chez l’être humain, ils se présentent sous différentes combinaisons, mais ce n’est qu’une excuse. La vérité est que les protéines et les enzymes constituent principalement l’ensemble de travail, les outils universels de tous les organismes, qu’il s’agisse de l’homme, des plantes, des animaux ou des virus. C’est donc le même ensemble d’outils qui effectue le travail du métabolisme.
Mais la question demeure : d’où vient la différence qui vient du niveau génétique ? Les informations héréditaires se trouvent dans nos chromosomes et nulle part ailleurs. Il y a là un paradoxe. Il y a des conséquences négatives à partir de là, tant que les biologistes continuent à considérer que c’est le seul matériel génétique significatif – les gènes. Ils ont certainement commencé à manipuler ces gènes, en les plaçant dans différents organismes. Ils ont commencé à les combiner, en pensant qu’il y avait des enzymes utiles, qui produisaient des protéines utiles, voici un exemple, la pomme de terre: le doryphore mange les feuilles de pomme de terre, il fallait faire quelque chose, et ils l’ont fait, les génétiques ont ajouté à la pomme de terre un gène pour coder la protéine qui tue le doryphore. Les cultures de pommes de terre ont augmenté lorsque le dendroctone de la pomme de terre ne les a plus mangées. Nous avons maintenant besoin de tomates non périssables, de betteraves super sucrées ou de plantes capables d’accumuler la vitamine E dont notre corps a tant besoin.
La génétique a développé et donné naissance à ces plantes, que la nature ne connaît pas. Ils affirment que le développement des cultures génétiquement modifiées est rentable car, grâce aux modifications génétiques, les plantes ne sont plus sensibles aux parasites et aux pesticides. Cela signifie qu’ils produisent de meilleures cultures, qui ne nécessitent pas de dépenses supplémentaires en produits chimiques et sans lesquelles il serait inévitable que l’humanité meure de faim. Mais revenons à la pomme de terre. Des écologistes méticuleux ont découvert que si l’on donne cette pomme de terre à des souris, elles développent progressivement un cancer de l’intestin. Pourquoi tout va-t-il si vite ? La génétique prédit que tout ira bien. Tout ira bien, mais ce n’est pas le cas ! Mais ils ne peuvent pas expliquer ce qui ne va pas, et ce pour la simple raison qu’ils ignorent la fonction du fameux ADN « poubelle ».
Il s’avère que cet ADN « poubelle » joue un rôle extrêmement important. Comment peut-il jouer un tel rôle, s’il est aussi simple que cela ? Nous sommes arrivés au point de changement de paradigme. Il a été constaté que le codage dans nos chromosomes se fait à deux niveaux, deux niveaux au moins, parce que cela se passe en fait sur plusieurs niveaux.
Le premier niveau est le niveau de codage de la matière, où sont codées principalement les protéines-enzymes. Ils sont représentés à hauteur de 1 à 2 %. Les 98-99% de « camelote » effectuent le codage sur une base complètement différente. Comment cela se fait-il ?
Pour le décrire de manière très simple : ces 98-99% de « déchets » dans notre ADN représentent, en termes physiques, des cristaux liquides. Les cristaux liquides peuvent prendre la forme de certains modèles physiques, comme les hologrammes. Si vous dirigez un faisceau de lumière dans un hologramme, celui-ci produira une image lumineuse spatiale. Il peut s’agir de l’image de n’importe quoi, humain, animal ou végétal. Relativement parlant, cette image est composée des plus petits morceaux, mais il ne faut pas penser que simplement dans l’ovule fécondé nous avons une image entière de l’homme adulte.
Comme tout système, tout organisme doit être construit selon un programme bien déterminé. Si ce plan préalable n’existe pas, ou s’il est modifié, c’est exactement ce qui se passe lors d’une mutation génétique. Ils essaient de l’expliquer par une mutation génétique. Oui parfois il arrive que des gènes connus, des gènes morphogénétiques mutent et donnent lieu à ce genre d’anomalie. Mais ici, il faut expliquer qu’en plus des 2% de gènes, codant principalement des protéines, il y a des gènes qui définissent la morphogenèse ou la structure du corps. Et la structure du corps est réalisée sur deux niveaux, le premier étant l’hologramme.
L’hologramme définit la structure spatiale, une image ou un modèle selon lequel l’organisme est construit, mais ces chromosomes contiennent également des programmes textuels, mais nous ne sommes pas encore capables de lire ces textes. Ces textes sont écrits avec les mêmes principes que le langage humain. L’ADN est le texte. Et les protéines sont en fait la copie, le recodage d’un langage à un autre, c’est-à-dire du langage de l’ADN au langage des protéines, les protéines sont aussi des textes et il se trouve que tout ce travail d’impression des protéines, de demande de plus en plus de nouvelles protéines, est similaire au travail avec une machine à écrire, de nouveaux textes sont écrits. Et des phrases protéiques apparaissent, semblables à des programmes informatiques qui, à leur tour, dictent les détails de la structure du corps. Nous avons donc vu deux niveaux de construction. Ces éléments permettent de conclure que ces 98% de « déchets » ne sont pas vraiment des déchets.
En 1974, le chercheur principal Petr Gariaev travaille à l’Institut des affaires physico-techniques et, avec ses collègues, étudie les problèmes de l’ADN. Au cours de ces 20 années, il a réussi à résoudre de nombreux problèmes liés à l’émergence de la vie à partir de l’ADN, et est devenu le fondateur de la nouvelle science appelée « génétique des ondes ». Pour tenter de comprendre ce qui motive la construction d’un système biologique plus complexe, nous avons prélevé de l’ADN dans le thymus du veau, nous l’avons placé dans un spectromètre et l’avons irradié avec un faisceau de lumière rouge. D’un point de vue scientifique, ce sont des expériences très simples. Lorsque j’ai éloigné la molécule d’ADN du foyer laser, et que le laser balayait en fait un espace vide, cet espace vide indiquait comme si la molécule d’ADN était toujours là. Par conséquent, j’ai vu le « fantôme » de l’ADN. Ce n’était pas absolument identique, bien sûr. Le signal était plus faible, mais le caractère général correspondait à de vraies molécules d’AND.
Avant cette expérience, cela n’avait pas été observé. Les expérimentateurs ont pensé que l’équipement était défectueux. Et quelques années plus tard, poursuivant ses expériences sur les noyaux cellulaires, cette fois dans une autre institution scientifique, Gariaev s’est rendu compte qu’un rayon laser avait trouvé l’ADN « fantôme ».
Par exemple, si vous chauffez l’ADN à 42 degrés, ce qui est mortel pour les humains, – d’ailleurs, on n’a pas encore expliqué pourquoi il meurt à cette température de 41-42, mais on a l’a observé – , à ce moment-là, les cristaux liquides d’ADN commencent à fondre. Cela signifie que nos chromosomes, à cette température, fusionnent ensemble. La double hélice de l’ADN demeure, mais son état de cristal liquide s’effondre. Ces programmes avancés, qui sont la base de la vie humaine, sont éliminés et la personne meurt.
“Sachant que l’ADN fantôme demeure, j’ai décidé de refroidir le comportement de l’échantillon et j’ai placé l’ADN à la température ambiante normale. Je faisais cela et je regardais l’oscilloscope et, mon Dieu, la molécule d’ADN se comportait comme si elle chauffait ! C’est à peu près ce qui s’est passé, bien que, testé dans des conditions normales, il était normal. J’ai donc conclu et déterminé que les « fantômes » d’ADN sont biologiquement actifs. De fait, en 1993, nous l’avons démontré. Dans l’institut de gestion de problèmes, avec Tertyishev, nous avons réussi à prouver que ces “fantômes” sont réellement actifs. Ils ne sont pas seulement actifs, ils sont vivants. Même si les scientifiques ne savent pas encore pendant combien de temps. Ce même spectromètre, que les scientifiques considéraient comme défectueux, enregistre des « fantômes » durant 40 jours. Nous ne pouvons pas exclure que ce « fantôme » dure plus longtemps ou qu’il puisse encore exister, car nous ne disposons pas d’équipements suffisamment sensibles pour l’enregistrer”.
D’une manière générale, le terme « fantôme » n’est pas unique ici. Tout le monde a entendu parler de « fantôme », lorsque des personnes après une amputation se plaignent de douleurs dans le membre manquant. Et c’est là que le « fantôme » énergétique se révèle. En médecine, il est arrivé que des femmes ayant fait une fausse couche aient des contractions aux dates prévues. Il pourrait être le résultat du fœtus « fantôme » qui est identique aux fantômes d’ADN, démontré expérimentalement par l’équipe de Gariaev, lorsqu’après la désintégration de l’onde « fantôme », ses membranes utiles disparaissent. Mais personne ne sait encore comment ils se comportent.
En ce qui concerne l’effet des ultrasons, bien connu de tous, Gariaev considère qu’ils sont nocifs pour le corps humain.
“Oui, en 1995 ou 1996, en travaillant sur la diffusion de la lumière de l’ADN, j’ai décidé de tester l’effet des ultrasons sur l’ADN pour détruire la molécule d’ADN. En fait, ils ne la détruisent pas, car je les ai utilisés dans des conditions à peu près identiques à celles des ultrasons habituels, donc il ne devrait pas y avoir de destruction de la molécule d’ADN avec les ultrasons. J’ai regardé les faits qui m’ont stupéfié…. Dans une solution aqueuse sans ultrasons, la molécule d’ADN produit constamment du son. Il produit une mélodie complexe avec des phrases musicales répétitives. Et là, qu’est-ce que j’entends ?
Au lieu d’une mélodie très complexe, il ne reste qu’une note très monotone ! Cela signifie que les ultrasons ont effacé une grande couche d’informations de la molécule d’ADN, cela a été fait par l’ultrason. Et puis j’ai pensé, mon Dieu, nous n’avons pas d’enfants en bonne santé….. Dans le monde entier, nous n’avons pas d’enfants en bonne santé, car tous, à l’exception des tribus sauvages, doivent passer une échographie.
Le fonctionnement de l’ADN peut être comparé à un ordinateur qui prend à chaque instant un nombre considérable de décisions. Mais si vous frappez un ordinateur avec un marteau, il se peut qu’il produise toujours la même réponse, quel que soit le problème. En fait, la même chose se produit dans notre corps lorsqu’il est soumis à des ultrasons. Sa matrice d’ondes est tellement altérée qu’elle ne domine plus qu’une seule fréquence, mais cela ne se produit pas d’un seul coup. La molécule d’ADN subit une forte pression après l’irradiation par ultrasons, il lui faut beaucoup de temps pour revenir à la vie… et puis, il y a le « fantôme » de la douleur et de la peur”.
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