Par Alain Boudet
Dr en Sciences Physiques

Résumé

Les parties qui codent les gènes de l’ADN, détenteurs des codes de fabrication des protéines qui régulent notre corps, n’occupent que 1,3% de tout l’ADN. Les zones non codantes dans et entre les gènes intriguent les scientifiques par leur présence énigmatique. Après avoir abandonné l’idée que ces zones sont inutiles, ils commencent à mettre en lumière leurs fonctions possibles. Ils ont des rôles de réglementation et de contrôle. Les zones entre les gènes portent des séquences caractéristiques pour chaque individu, dans la mesure où la législation les prend comme base de l’empreinte génétique. Il y a donc une architecture importante dans l’ADN. Grâce à des méthodes d’analyse statistique, certains mathématiciens ont pu mettre en évidence un ordre fractal qui varie selon le type d’ADN.

Information itérative

J. Mattick, 2007: Si tous ces gènes non codants, qui ne sont pas liés aux protéines, sont fonctionnels, comme les faits le suggèrent de plus en plus, alors une grande partie et peut-être la totalité du génome humain est fonctionnelle. Si tel est le cas, la programmation génétique des organismes supérieurs a été mal comprise au cours des cinquante dernières années, du fait de la supposition que l’information génétique est transmise par les protéines.
Le 98,7% de l’ADN non codant (appelé ADN poubelle) a un rôle fonctionnel.

Pour András Pellionisz, biophysicien, anciennement de l’Université de New York, 100% de l’ADN donne des informations codées qui opèrent dans différentes phases des processus biologiques, échangeant des informations de manière itérative. Lorsqu’une cellule est construite, par exemple une cellule neuronale dans le cerveau, la cellule de Purkinje, un squelette protéique est d’abord construit selon le modèle classique de transcription: Gène > ARN messager > protéine.
Mais avant la transcription du gène en ARN, il y a un signal, une instruction est donnée: Activer le gène. Une fois que cette instruction est lue et exécutée, un marqueur sous la forme d’une protéine se lie à l’ADN pour signifier Éteindre le gène. Pour le désactiver, le marqueur accroche un groupe méthyle dans la partie appropriée du gène. C’est la première étape dont le résultat est un embryon protéique.
Ensuite, cet embryon cherchera une deuxième série d’instructions pour continuer sa construction. Ces instructions auxiliaires proviennent d’une séquence d’ADN située dans une partie non codante de protéine, l’une de ces séquences quasi répétitives mentionnées ci-dessus. Justement, les variantes du motif de répétition sont très significatives et font partie des instructions.
Dans la troisième étape, la protéine en construction va chercher d’autres séries d’instructions complémentaires dans une autre séquence non codante, et ainsi de suite. L’entité est construite par étapes et, dans chacune d’elles, elle se développe selon une hiérarchie fractale, de la protéine au corps entier en passant par la cellule et le tissu.

Le code génétique électromagnétique

La structure fractale montre que l’ADN se construit selon un ordre, c’est-à-dire une organisation. Chaque organisation porte en elle-même des informations, car enregistrer des informations dans la matière implique une certaine disposition codée de cette même matière.
Un groupe de chercheurs russes, sous la direction de P. Gariaev, a étudié les informations génétiques que cette organisation pouvait capter. Ils ont trouvé des indices très intéressants. Ils ont vu que le brin d’ADN pouvait être lu avec une onde électromagnétique, tout comme un faisceau laser lit des signaux enregistrés sur un CD. Ils ont envoyé une vague de caractéristiques appropriées sur l’ADN. En parcourant cet ADN, l’onde électromagnétique était modulée par la structure et transportait les informations codées vers un autre endroit du corps.
Le 98,5% restant (l’ADN dit poubelle) de tout l’ADN contient des programmes d’un niveau significativement supérieur au 1,5% décodé (ADN codant pour les protéines).

L’ADN et ses modes d’expression

Contrairement à l’idée répandue selon laquelle nous sommes programmés par notre code génétique, certains scientifiques ont montré qu’il s’agit, en réalité, d’une banque de données qui peut être activée ou non, selon nos conditions de vie (nutritionnelle et psychique). La science de l’épigénétique a montré que cette activation était due à des modifications chimiques réversibles du gène. Chacun de nous est donc dans un état épigénétique propre, qui change avec l’âge. Dans certaines circonstances, cet état est transmissible à la progéniture, bouleversant les idées immuables des scientifiques sur l’évolution des espèces par sélection naturelle. D’autres observations montrent que l’ADN et les gènes ne sont pas des ensembles fixes et définitivement constitués. L’ADN est partiellement reconstruit lorsque certains fragments (les «transposons») changent de place. La plasticité des cellules nerveuses est un autre exemple qui montre que nos cellules ne sont pas constituées une fois pour toutes, mais ont plutôt l’étonnante capacité de s’adapter au changement et d’inventer de nouvelles formes.

L’ADN électrique

La molécule d’ADN est généralement représentée sous la forme de volumes géométriques: hélices, rubans et segments. Au-delà de son occupation de l’espace, une vie électronique intense se manifeste dans les molécules, responsables de leurs attractions, associations et assemblages. De nombreuses investigations ont étudié la conductivité électrique de l’ADN nu, c’est-à-dire à l’extérieur du corps. Il a été récemment démontré que l’ADN est électriquement conducteur et peut être considéré comme un minuscule fil. Ces recherches sont motivées par la possibilité d’utiliser l’ADN comme matériau pour des nano-circuits électroniques (à l’échelle nanométrique). Des ordinateurs basés sur l’ADN ont été construits et testés. L’ADN participe donc à la grande course aux nanotechnologies qui permettent la fabrication de puces et autres appareils avec des tailles bien inférieures à celles permises par le silicium. Une technologie qui se propage pour le meilleur et pour le pire.

ADN électromagnétique et communication entre molécules

Depuis une centaine d’années, des scientifiques de différents pays (Gurwitsch, Kaznaccheev, Gariaev, Inaba, Popp et autres) ont montré que les organismes vivants émettent une lumière (biophotons) de très faible intensité. Tel un laser, l’ADN est à la fois la source et le site de stockage de ces photons. L’ensemble des biophotons de l’organisme constitue un champ porteur d’information cohérent, sous forme d’hologrammes, qui dirigent les processus vitaux de l’organisme et maintiennent leur intégrité. Grâce à ces rayonnements lumineux, les cellules communiquent entre elles et envoient des informations sur leur état énergétique et de santé. D’autres informations constituent un code génétique électromagnétique holographique qui assure et coordonne le développement de l’organisme. Ceci explique les phénomènes inexplicables par la génétique moléculaire, comme la différenciation des cellules. Des applications pratiques de ce phénomène ont été conçues pour évaluer la qualité des aliments et améliorer la santé des êtres vivants grâce à des techniques non destructives.
(…)

Le champ de biophotons imprègne le corps

Un organisme vivant est composé d’une multitude de cellules. Chacun d’eux contient l’ADN qui émet ses biophotons. Cela provoque un immense flux de biophotons qui imprègne les cellules et les organes. Il constitue une sorte de «mer de photons» (également appelée «champ de biophotons»).
Les biophotons qui proviennent de toutes les cellules d’un même organisme ne sont pas cacophoniques, mais organisés. Cela signifie que les molécules d’ADN émettent de manière ordonnée. Le champ de biophotons est à la fois le résultat de l’ensemble des photons et un champ collectif englobant qui assure la cohérence et l’unité du système biologique.
Cette communication peut être comparée au système de synchronie d’une colonie de fourmis qui collaborent toutes dans l’organisation commune, grâce aux informations que chacune reçoit du champ collectif qu’elles créent.
Le champ de biophotons transporte des informations complexes qui circulent entre les cellules et les organes. Dirige et coordonne toutes les activités métaboliques et de transformation.
En introduisant le concept de champs d’énergie et de champs d’ondes, la biologie s’éloigne des descriptions basées uniquement sur des réactions chimiques, et rejoint la nouvelle physique qui utilise le concept de champ d’informations.
L’émission continue de biophotons est une caractéristique fondamentale du vivant. Le champ des biophotons est produit sans cesse et en évolution. Dans son livre L’arc-en-ciel et le ver, le Dr Mae-Wan Ho (Chine et Angleterre) explique que le champ de photons ressemble à un fluide, comme de l’eau dans un récipient, mais avec une consistance lumineuse. De cette manière, des vagues peuvent être produites. Le champ envoie des ondes de biophotons dans son environnement.

Le biofield, champ énergétique de l’information des organismes biologiques

L’existence de champs de rayonnement qui englobent et imprègnent les organismes biologiques a été proposée par de nombreux biologistes et physiciens. L’idée de la coordination cellulaire à travers un champ a été étudiée par Herbert Fröhlich à Liverpool à partir de 1968 et Renato Nobili à Padoue à partir de 1985. Northrup décrit un champ électrodynamique créé par ses composants atomiques qui réagit sur la propriété de ces composants.
Le concept de champ morphogénétique (qui génère des formes) a d’abord été développé par Gurwitsch en 1922 et Weiss en 1926, puis par Rupert Sheldrake (biochimiste britannique né en 1942) dans les années 1980. En France, le mathématicien Emile Pinel (1906-1985) prédit mathématiquement l’existence d’un champ global de neuf composants comme organisateur de la vie des cellules.
D’autres ont montré la réalité physique du terrain par les empreintes détectables qu’elle exprime sur demande. Dans les années 1940, Harold Burr a mesuré le champ électrique généré par et autour des corps vivants des salamandres, des grenouilles, des moisissures et des humains. Il a montré que le champ électrique des œufs de salamandre, entre autres, prend la forme du champ électrique d’une salamandre adulte depuis le début. C’est comme si l’œuf avait déjà l’information de sa morphologie adulte. La technique moderne qui révèle les champs de particules est née des travaux de Seyman et Valentina Kirlian.
Il consiste à soumettre l’organisme étudié à une tension électrique, et à capturer sur un film photographique les effluves électriques et lumineuses qui se produisent autour de l’organisme. Cette technique a été modernisée et informatisée par le Dr Konstantin Korotkov.
Le collaborateur des Kirlian, Victor Adamenko, a découvert en 1966 que le champ pouvait rester présent lorsque la feuille est découpée, même dans les parties manquantes. Ce n’est pas le cas pour les pièces internes raclées. L’expérience a été reproduite dans plusieurs laboratoires, dont celui du Dr P. Gariaev en Russie.

Le code génétique holographique

Le Dr Piotr (ou Peter) Gariaev et son équipe, de l’Académie russe des sciences naturelles et de l’Académie des sciences médicales, ont étudié la nature et le fonctionnement du champ vibratoire créé dans l’organisme par l’ADN, tant par la théorie que par l’expérience. Sa contribution essentielle est de montrer que ce champ porte les informations génétiques d’organisation et de coordination du fonctionnement des cellules. Bref, le génome contient une partie moléculaire, celle des gènes que nous connaissons, et une partie ondulatoire, le génome ondulatoire ou supergène. De plus, ils ont montré que ce champ avait les caractéristiques d’un hologramme. La notion d’hologramme est apparue en physique lorsque des figures lumineuses transmises par un objet illuminé ont été découvertes et ces figures ont été enregistrées sur pellicule photographique. Ces figures ne sont pas présentées comme une image directe de l’objet tel que nous le voyons, mais sous la forme de graphiques – hologrammes – produits par l’interférence de la source lumineuse. L’hologramme a l’avantage surprenant de conserver l’image de l’objet en 3 dimensions et de pouvoir la restituer. De plus, chaque partie du graphique contient les informations de l’objet entier. C’est pourquoi on l’appelait un hologramme, ce qui signifie un diagramme de l’ensemble.

L’idée d’hologrammes présents dans les organismes vivants et porteurs d’informations a déjà été exposée par le neurobiologiste Karl Pribram, suivi plus tard par d’autres équipes. Il a montré que les souvenirs ne sont pas enregistrés dans la matière du cerveau mais dans son champ holographique.
En accord avec les propositions de l’équipe Gariaev, W. Schempp et P. Marcer ont montré que l’ADN a pour fonction de stocker des informations et que sa capacité est considérable. De plus, c’est grâce à ces concepts que Schempp a hautement perfectionné la technique d’imagerie par résonance magnétique (IRM) adoptée internationalement, montrant que l’hologramme n’est pas seulement une hypothèse théorique, mais une réalité physique.
Les études de Schempp montrent que les hologrammes sont inscrits dans le plan des paires de bases de la double hélice. Voici enfin une réponse à la question de savoir pourquoi la molécule d’ADN a deux brins qui portent la même information génétique. C’était incompréhensible selon le code génétique moléculaire classique.
Gariaev conçoit le génome des organismes supérieurs comme une grille holographique. Les hologrammes d’ADN contiennent les codes fondamentaux du développement et la forme complète de l’organisme, même lorsque l’organisme est encore à l’état embryonnaire, on peut dire qu’ils sont le Oui à la Vie de l’être vivant.

L’ADN est un bio-ordinateur

En tant qu’antenne émettrice, l’ADN d’un chromosome dans une cellule peut envoyer des signaux à d’autres cellules. Ces indications sont émises lorsque l’ADN est interrogé par des biophotons qui parcourent le corps. Ce mécanisme a été vérifié expérimentalement en envoyant un faisceau laser sur l’ADN.

Certains hologrammes interrogés contiennent des informations relatives à la nature essentielle de l’être vivant. D’autres contiennent des informations sur l’état actuel de la cellule. Cet état change constamment et les hologrammes ressemblent plus à des films qu’à des photos.
Ils sont transmis aux cellules voisines afin que chaque cellule reçoive des indications sur l’état des autres.
Les émissions cellulaires holographiques sont produites à partir de chacun des milliards de cellules du corps. Grâce à sa fonction d’antenne de réception d’ADN, les informations holographiques sont constamment lues par ces cellules. Ceci explique la réponse immédiate et coordonnée des systèmes vivants et le maintien de l’intégrité de l’organisme. L’ADN reçoit également des informations de l’environnement local de l’organisme et même de l’univers entier.
La transmission des informations holographiques est immédiate. Cela ne correspond pas à l’idée d’une transmission de signal par une onde avec une vitesse définie. L’information n’est pas locale, elle est en A et immédiatement en B, c’est ce qu’on appelle la téléportation quantique, qui a été démontrée dans le cas des particules quantiques. Cela implique que l’ADN se comporte comme un objet quantique. Il est reconnu que le réseau de microtubules, l’architecture structurale de la cellule, joue un rôle dans ce transfert. Cependant, selon Dirk Bouwmeester (1998), la manifestation concrète d’informations téléportées nécessite également une transmission chimique ou électrique classique.

Ce modèle permet d’expliquer de manière simple des faits expérimentaux incompréhensibles dans le cadre de la théorie classique. Les codes génétiques des plantes, des animaux et des humains sont très similaires et produisent des protéines similaires. Pourtant, ils se déroulent dans des organismes très différents. Pourquoi? Aussi, dans un organisme comme l’humain, de quelle manière les cellules ayant le même code génétique peuvent-elles savoir si elles doivent se développer en cellule hépatique ou cellule oculaire? La réponse réside dans le champ vibratoire unifié qui transmet à la cellule l’indication de qui elle est (de quel organisme il s’agit), où elle se trouve (dans quelle partie de l’organisme) et ce qu’elle doit faire.

Le champ holographique explique également la capacité de régénération de certains animaux après avoir été mutilés. C’est le cas des lézards dont la queue a la capacité de repousser après avoir été coupée. Egalement le ver Planaria, dont l’organisme entier peut être reconstitué à partir de n’importe quelle partie. Cela est possible car chaque cellule connaît instantanément l’état des autres cellules.

L’existence du champ holographique explique comment les antigènes et les anticorps peuvent se reconnaître, comment les «transposons» savent où, dans l’ADN, ils doivent s’insérer. C’est ainsi que les ribosomes, unités de production de protéines dans la cellule, savent quel acide aminé produire lorsqu’ils reçoivent un code qui a des synonymes et montre une indétermination.
C’est précisément le désir de résoudre cette dernière question qui a conduit Gariaev à élaborer sa théorie.

Pour Gariaev, l’ADN est bien plus qu’une antenne de réception, transmettant et stockant des informations. Il est capable d’interpréter les informations reçues et d’y réagir. L’ADN a la capacité de lire ses propres hologrammes et ceux qu’il reçoit, les décoder, les interpréter, les modifier et les archiver. Par conséquent, il possède toutes les caractéristiques d’un ordinateur biologique.

Le champ électromagnétique qui régit l’assemblage de l’ADN

Le professeur Luc Montagnier a également réalisé l’existence d’un champ électromagnétique associé à l’ADN, en utilisant une approche expérimentale totalement différente. Il a reçu le prix Nobel de médecine en 2008, avec Françoise Barré Sinoussi, pour leur découverte en 1983 du virus responsable du SIDA, le VIH. Leurs recherches les ont amenés à s’intéresser aux signaux électromagnétiques émis par certaines cellules et virus pathogènes. Avec ses collaborateurs, il a montré que la synthèse d’ADN pouvait être dirigée par des signaux électromagnétiques.
Ici je vous l’explique: un ADN issu de cellules bactériennes ou virales est mis en solution dans l’eau, avec certaines conditions de dilution, en présence d’un champ électromagnétique d’une fréquence d’environ 7 Hz qui s’est avéré indispensable à la réussite de l’expérience. Cet ADN est ensuite complètement extrait de l’eau. Même sans y être, son empreinte électromagnétique spécifique, c’est-à-dire sa signature, subsiste dans l’eau et est mesurable. Puis, avec ce tube hermétiquement fermé, on observe que la signature, ou champ électromagnétique, peut être transférée dans un autre tube d’eau pure. Si les constituants de l’ADN ont été soigneusement ajoutés au deuxième tube, l’ADN est reconstitué au bout de quelques heures, reproduisant l’ADN initial à 98%.
Ce résultat est profondément révolutionnaire. Jusque-là, les biologistes considéraient qu’une seule molécule d’ADN pouvait fournir le modèle pour l’assemblage d’une autre molécule d’ADN, comme s’il s’agissait d’un modèle matériel qui guidait la duplication. Cependant, on découvre ici que le plan d’assemblage d’ADN a été fourni par sa signature électromagnétique, sans qu’il soit nécessaire de disposer d’un moule.
Un nouveau monde s’ouvre devant nous. Les réactions chimiques ne se produisent pas au hasard, les molécules se réunissant présentant le côté adéquat et s’emboîtant ensuite. Les réactions chimiques sont guidées par des codes électromagnétiques.
Dans les expériences de Montagnier, l’eau est impliquée comme moyen de transférer les codes d’assemblage, de les archiver et de les amplifier en microstructures. Dans la partie suivante, les codes génétiques sont portés par des faisceaux lumineux.

Transfert par laser du code génétique d’un organisme à un autre

Le modèle de transmission d’informations par les photons a reçu des confirmations extraordinaires en laboratoire. Nous avons déjà vu comment Burlakov a observé que les œufs de poisson se transmettaient des informations lorsqu’ils étaient en présence l’un de l’autre, uniquement par leur propre rayonnement. Cependant, de multiples expériences ont montré qu’il était possible de transférer des informations génétiques d’un organisme à un autre également au moyen d’un faisceau électromagnétique programmé.

Les enquêtes de Dzang Kangeng

Avant les chercheurs russes, un scientifique chinois, Yu V.Dzang Kangeng (parfois écrit Tsiang Kan Zheng ou Tszyan Kanchzhen) pensait aussi, dans les années 1960, que les molécules d’un organisme vivant étaient liées par des champs informationnels et que l’ADN contenait cette information en forme de signaux électromagnétiques.
Jury Vladimirovich Tsiang Kan Zheng est né en 1933 à Changtu, en Chine. Il est diplômé par l’Université chinoise de médecine. En 1971, lors de la Révolution culturelle, il s’enfuit en Russie et y poursuit ses investigations à Khabarovsk. Il écrit en 1993:
«Le champ électromagnétique et l’ADN constituent une MATIÈRE GÉNÉTIQUE COMBINÉE qui existe sous deux formes: passive (ADN) et active (bio-électromagnétique). La forme passive sert à conserver l’information génétique, tandis que la forme active est capable de la modifier … Le champ bio-électromagnétique (support d’énergie et d’information) se manifeste dans la bande UHF et dans celle des rayons infrarouges.  »
Il nvente un appareil, le Biotron-Tszyan. Des ondes électromagnétiques à très haute fréquence (UHF) sont polarisées avec une antenne en forme de parabole, sphère, cône ou hexaèdre. Ces ondes captent l’information génétique et la transmettent ensuite à un autre organisme.
Dans une série d’expériences, Kangeng a transféré l’information génétique des germes de blé sur des semis de maïs. Le grain qui se forme a des caractéristiques communes avec le blé et le maïs en raison de sa morphologie. Avec cette même procédure, certaines caractéristiques d’un melon, en particulier son goût, sont transférées aux germes de concombre. Ces modifications sont transmises dans les générations suivantes.

D’autres expériences animales ont été réalisées. Les œufs de poule reçoivent des informations génétiques d’un canard. La plupart des poussins naissent avec des modifications morphologiques: pattes palmées, tête plate comme celle d’un canard, long cou, etc. Ces modifications sont également transmises aux générations suivantes.

Ces résultats montrent la puissance de cet outil et ouvrent des perspectives étonnantes. Comme tous les outils, ils peuvent être utilisés pour le bien de chacun, ou pour le gain égoïste et la soif de pouvoir des uns au détriment des autres. Développer ces procédures nécessite donc une réflexion fondamentale sur le sens de la vie et sur la logique du pouvoir. Cependant, ces expériences nous introduisent aux mécanismes intimes de création de la vie.

Modifications génétiques des plantes et des animaux par transfert électromagnétique.

D’autres chercheurs ont mené le même type d’expérimentation avec d’autres appareils. Leurs préoccupations étaient avant tout de trouver des moyens de guérison.
Un scientifique russe, V. Budakovski, a utilisé un laser à lumière rouge pour 160 observations sur divers organismes, des bactéries aux humains en passant par les batraciens. Son taux de réussite et de guérison est de 64%. Il guérit les arbustes de framboises attaqués par des callosités (cellules cancéreuses), projetant un hologramme avec des informations de la plante saine. La guérison se produit en quelques mois. Il projette également des informations d’œufs de grenouille sur des œufs de salamandre, qui donnent naissance à des grenouilles.

Il faut souligner que ces expériences se sont déroulées uniquement avec de la lumière, sans chirurgie ni recombinaison chimique d’ADN.

P. Gariaev et son équipe ont également mené des expériences similaires en utilisant un laser qui projette deux ondes lumineuses polarisées perpendiculairement, sans interférences entre elles (bio-ordinateur). Ces ondes traversent le tissu semi-transparent de l’organisme donneur, avec des va-et-vient répétés, et sont modulées par l’hologramme génétique. La modulation est transformée en un signal radio (0,5 MHz à 1,5 MHz) selon une nouvelle spectroscopie appelée Spectroscopie Laser Polarisée et Radio (PLRS), elle est enregistrée par ordinateur, puis transmise à un tissu récepteur.
Ce protocole appliqué aux pommes de terre leur confère une croissance ultra-rapide et entraîne des modifications morphologiques de leurs tiges.
Par le même procédé, les chercheurs ont eu la possibilité de ramener à la vie des graines d’Arabidopsis thaliana, tuées par la radioactivité dans la région de Tchernobyl en 1987. Ils les ont illuminées avec l’hologramme de graines saines. Alternativement, ils n’obtiennent aucun résultat si l’onde radio ne transmet pas cette information.

L’équipe de Gariaev a mené des expériences importantes de guérison sur des souris dont le pancréas avait été détruit avec un médicament (alloxane). Avec le laser, ils ont éclairé les souris avec des informations holographiques provenant d’un pancréas entièrement sain, prélevées sur une autre souris nouveau-née. Lorsque l’exposition au laser était suffisante, leur pancréas était complètement reconstitué et les souris régénérées. Dans un groupe témoin n’ayant pas reçu ce traitement, toutes les souris sont mortes. Les cellules sont reconstituées à partir de cellules souches qui évoluent en cellules pancréatiques.

Dans une autre série d’expériences, ils ont d’abord éclairé les souris par holographie pour leur donner une plus grande puissance de résistance, à titre préventif. Ils ont ensuite été soumis à des injections d’alloxane et mesuré leur résistance. Les résultats montrent qu’elle a augmenté de manière décisive.

Remèdes possibles pour les maladies humaines, y compris le SIDA

Après son expérience avec des poussins, le Chinois Dzang Kangeng démontre que sa procédure permet de transférer des informations de guérison et le rajeunissement à un humain. En 1987, il mène une expérience sur son père de 80 ans. Les résultats sont positifs: à la suite du traitement, les maladies chroniques qui l’affaiblissaient depuis plus de vingt ans disparaissent, dont une allergie cutanée, un acouphène et une tumeur bénigne; six mois plus tard, ses cheveux réapparaissent là où il était chauve et ses cheveux gris redeviennent noirs. Un an plus tard, une dent a repoussé là où elle avait été extraite 20 ans plus tôt. Il en fait un brevet.
La procédure de P.Gariaev offre des possibilités similaires. Il est possible d’offrir les perspectives suivantes en ce qui concerne la manipulation de signaux avec des structures génétiques: la mise en œuvre d’un suivi à distance des processus d’information-clé dans les bio-systèmes grâce à ces bio-ordinateurs, avec application pour les traitements contre le cancer, le malformations et, enfin, la longévité humaine … protection active contre les effets des ondes destructrices, grâce à des détecteurs de canal d’information des ondes.

La procédure a été appliquée avec succès à une fillette de deux ans atteinte de fibrose kystique et de dégradation du foie et du pancréas, grâce à un hologramme d’un cousin en bonne santé.

Sur la non-localité quantique du génome

Peter P. Gariaev *, Boris I. Birshtein *, Alexander M. Iarochenko *, Peter J. Marcer **, George G. Tertishny *, Katherine A. Leonova *, Uwe Kaempf.

La non-localité de la bio-information a lieu dans l’espace d’un organisme. Ce niveau a cependant une nature particulière: non seulement parce qu’il est réalisé au niveau quantique, mais parce qu’il fonctionne aussi à la fois dans l’espace d’un bio-système et dans le temps propre à ce bio-système. Les milliards de cellules d’un organisme connaissent leurs informations relatives les unes aux autres de manière instantanée, permettant à chaque cellule de réguler et de coordonner son métabolisme et ses propres fonctions. Par conséquent, la non-localité peut être postulée comme le facteur-clé qui explique l’extraordinaire évolution des bio-systèmes cellulaires. Ce facteur dit que les événements bio-informatiques peuvent être coordonnés instantanément, se déroulant «simultanément ici et là» et que dans de telles situations, le concept de cause à effet perd tout sens. Ce qui est très important!
(…)

Même s’il est admis que les transmissions intercellulaires sont effectuées électromagnétiquement à la vitesse de la lumière, ce serait encore insuffisant pour expliquer le niveau d’évolution et la complexité du fonctionnement des bio-systèmes en temps réel (Gariaev 1993).
Selon les auteurs, la non-localité et l’holographie quantique sont essentielles pour expliquer cette opération en temps réel.
Les gènes peuvent agir comme un objet quantique et c’est un phénomène de téléportation / non – localité quantique qui garantit la super cohérence de l’organisme.
(…)

Le transfert d’information/communication quantiques connu sous le nom de téléportation quantique consiste en deux processus de signaux indissociables, l’un classique, l’autre quantique. Le quantum est une transmission instantanée de X à Y (non limitée par la distance, par téléportation quantique.) Qui ne peut pas être utilisée sans l’autre, qui est la transmission de X à Y par des moyens conventionnels à la vitesse de la lumière ou moins.
(…)

30 abril 2014
Cet article est la culmination d’études, d’investigations, de compréhensions, de synthèses, de réflexions, d’éclaircissements et reformulations en un langage simple, qui a requis une somme importante de travail.
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Alain Boudet